Étude de Michna dédiée – Un mérite éternel

Un nouveau service d’étude de Michna proposé par OVDHM

OVDHM met à votre disposition un nouveau service d’étude de Michna, destiné à l’élévation de l’âme d’un proche.

Ce service permet de transformer le souvenir en une action concrète et continue, même lorsque l’on ne peut pas soi-même étudier régulièrement.

La personne qui étudie agit en tant que chalia’h, c’est-à-dire votre représentant.
Elle étudie en votre nom et à votre place, avec l’intention explicite que cette étude soit accomplie pour le mérite et le bienfait de l’âme de votre proche.

Ainsi, l’étude vous est pleinement attribuée, comme si vous l’aviez réalisée vous-même, tout en bénéficiant de la régularité et de l’engagement d’un cadre structuré.

Vous pouvez choisir la durée de l’étude selon votre souhait :

• 1 semaine : 52 €
• 1 mois : 126 €
• 1 an : 1 200 € (soit 100 € par mois)

Chaque formule garantit une étude suivie, sérieuse et dédiée, pendant toute la période choisie.

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POUR UNE SOUSCRIPTION EN SHEKEL CLIQUEZ-ICI

Ce service s’adresse à toute personne souhaitant agir concrètement pour l’élévation de l’âme d’un proche, avec discrétion, sérieux et continuité.

Pour toute information ou pour mettre en place ce service, l’équipe OVDHM se tient à votre disposition pour vous accompagner. info.ovdhm@gmail.com

A pros de l’etude de la Michna….

L’étude de la Michna purifie la Néchama de l’homme vivant mais aussi celle du défunt.

Le Ari Za’’l nous fait remarquer que les lettres qui composent le mot Michna-משנה sont les mêmes que celles qui forment le mot Néchama-נשמה.

D’ailleurs, le Ari entreprenait chaque matin, avant toute autre activité, une étude de Michna pour « accueillir » de nouveau sa néchama dans son corps¹.

Nos sages nous enseignent que Acher, le fils de Yaakov, est assis à l’entrée du Guéhinom/l’enfer, et sauve toute personne qui a étudié des Michnayot ou qui a bénéficié d’une étude à sa mémoire.

Un jour, un homme riche rendit visite au ‘Hafets ‘Haïm. Il lui expliqua qu’il avait six héritiers mais qu’il avait ordonné de partager l’héritage en sept parts. Une part pour chaque héritier et une part supplémentaire destinée à la yéchiva de Radine fondée par le ‘Hafets ‘Haïm pour l’élévation de l’âme du donateur lui-même. Le donateur demanda une faveur au ‘Hafets ‘Haïm : en contrepartie de cette donation, le ‘Hafets ‘Haïm étudiera des Michnayot pour l’élévation de son âme quand le jour de son décès adviendra. Le donateur pensait que le ‘Hafets ‘Haïm lui accorderait toutes ses bénédictions et accepterait avec joie cette proposition, car le Rav lui-même soutenait ce genre d’initiative. A sa grande surprise, il exprima son mécontentement devant cette décision. Il répliqua : en ce qui concerne la donation, pourquoi attendre jusqu’à vos derniers jours, vous pouvez la donner dès maintenant ! Quant à l’étude, pourquoi vous en remettre à moi, vous pouvez étudiez vous-même !

La première chose à faire est de se fixer un temps quotidien pour une étude de Michna, chacun selon ses possibilités …

Rabbi Elâzar rapporte au nom de Rabbi Yéochoua ben Lévi que l’étude de la Michna est un piler d’acier², et encore plus si cette étude est partagée avec ses enfants, c’est notre héritage et, une véritable transmission.

Cependant après la vie dans ce monde-ci, la Néchama sans son corps ne peut plus accomplir les Mitsvot et ne peut plus évoluer dans les mondes supérieurs. Elle demeure à la place qui lui a été attribuée, selon les mérites acquis.

Seuls les descendants ou autres personnes agissant pour l’élévation de l’âme d’un défunt peuvent changer les données. Il faut savoir que, par des études de Michnayot, nous intervenons favorablement pour le mérite du défunt. Comme ces études sont précieuses : elles entraînent dans le ciel l’élévation de la Néchama à un endroit de plus en plus élevé et important au gan Éden, et cela lui procure beaucoup de satisfaction.

C’est pour cette raison qu’au cours de la première année de décès de ses parents ou d’un proche, ainsi que chaque année dans la semaine de l’anniversaire du décès (Azkara, Yorstaït ou Azguir), il est très important, nécessaire et bénéfique pour l’âme du défunt, que l’on étudie pour lui des michnayot et plus particulièrement le septième chapitre du Traité Mikvaots (section Taharot).

1Baér Etev Simane 1 §6 ; Kitsour Choul’hane Aroukh 207

2Vayikra Raba 21§5