6 novembre 2024

Israël a confiance en Hachem, c’est son aide et son protecteur ! [paracha Noa’h]

A-t-on tous les droits sur terre ? La paracha de Noa’h est connue de tous, il s’agit de la 10ème génération depuis Adam Harichon. A l’époque la société était pécheresse en particulier par les relations interdites et le vol. Suite à cela Hachem décida d’anéantir tout le monde à l’exception d’un seul homme : Noa’h. Noa’h a su rester juste alors que toute l’humanité ne l’était pas. Et grâce à lui l’humanité a pu perdurer jusqu’à nos jours. Tandis que le reste de la population n’ayant pas fait Techouva, un déluge d’eau s’est abattu entraînant la mort de toute la génération. C’est uniquement Noa’h et sa famille qui survivront à ce terrible cataclysme. De plus, D’ a eu le souci de perpétuer les espèces animales et volatiles du globe : donc l’arche accueillera en son sein toutes les différentes sortes d’animaux d’oiseaux et de rampants que peut connaître la terre ! La construction de cet immense bateau dura 120 ans afin de faire réfléchir la génération de l’imminence de la catastrophe. Mais peine perdue, les hommes ne feront pas Techouva et les eaux d’en haut et d’en bas s’abattront sans miséricorde, et toute l’humanité fut rayée de la carte. Après un an, Noa’h sort de l’arche, apporte une offrande en remerciement à Hachem de l’avoir sauvé et commence alors une nouvelle page : celle du peuplement de la terre par la descendance de Noa’h. Depuis lors, la race humaine (qui ne descend pas des singes… comme certains le pensent à tort ) s’appelle les Bené Noa’h : les enfants de Noa’h. D’ lui prescrit alors qu’il peut dorénavant manger de la viande animale qui lui étaient auparavant défendue depuis l’époque d’Adam Harichon.

Le Or Ha’haïm explique cette permission de trois façons. La première: Noa’h ayant sauvé tout le monde animal acquiert le droit d’en profiter (en en mangeant). La deuxième, Il s’est beaucoup fatigué pour nourrir tous ces animaux durant l’année de navigation. La preuve c’est que le Midrach enseigne qu’à un moment il a tardé à nourrir le lion, et ce dernier en colère a croqué la jambe de Noa’h et depuis il est resté infirme. Or le verset de Tehilim dit: «  La fatigue de ton labeur te permet de manger du fruit de ton labeur… » (128.2). La troisième, à la sortie de l’arche, Noa’h a approché des sacrifices en gratitude à Hachem et en récompense il lui sera permis de manger de la viande. Plus loin Hachem s’adressera à Noa’h en lui interdisant le meurtre. Le verset rajoute aussi: « Votre sang, Je le réclamerais…» (9.5) De là, la Guemara Baba Kama 91 apprend qu’il existe un interdit de se donner la mort. Ce verset incombe à toute l’humanité puisqu’il a été dit à Noa’h, le père de toutes les nations . Sans cette injonction on aurait pu penser que l’homme est maître de sa vie et de son âme . Et si à D’ ne plaise, les difficultés sont trop grandes, l’homme pourrait attenter à sa vie. Sur ce, la Tora nous dit niet/nenni : c’est une loi immuable de la sainte Tora (et les gentils sont AUSSI astreints à cela). C’est un formidable enseignement de savoir que le souffle de la vie n’est pas à la disposition de chacun. C’est un dépôt sacré puisque son vrai propriétaire (D’) est Saint.

Mieux encore, la Guemara (idem) enseigne qu’on n’a même pas le droit de se blesser, car le corps appartient aussi à Hachem. On aura compris qu’il n’existe aucune permission de permettre ou d’aider une pauvre âme à mettre fin à ses jours… et la Tora s’adresse aussi bien aux médecins et pharmaciens qu’à quiconque. Le Zihron Yossef rapporte une Guemara fort intéressante au sujet d’une ville très spéciale en Erets Israël : la ville de Louz. Il est dit à son sujet que les habitants résidants en son sein ne mouraient pas. C’est à rapprocher avec une autre ville qui s’appelait «Kouchta» dont les habitants faisaient très attention de ne jamais mentir et ne mouraient pas (Sanhédrin 91)). La Guemara dans Sota 46 enseigne: « Louz: la ville où l’on teint les fils du Talith (en bleu azur). Cette ville n’a pas été exilée par San’hériv, ni par Nabuchodonosor et l’ange de la mort n’a pas le droit d’y rentrer. Seulement lorsque les anciens de la ville n’ont plus l’envie de vivre, ils sortent en dehors des murailles de la ville et ils meurent » – fin du passage étonnant.

Or, d’après notre paracha il existe un interdit de mettre fin à ses jours, donc comment comprendre que les anciens aient pu sortir et finir par mourir ?! N’est-ce pas mettre fin à ses jours ce qui est complètement interdit ?! De plus, il n’est pas mentionné par le Talmud qu’ils ont mal fait de sortir à l’extérieur. Intéressante comme question, n’est-ce pas? Cette question est posée par le grand possek, rav Eliachiv zatsal dans ses notes (sur la Guemara Sota) et il ne répond pas. Nous n’atteignons pas la plante des pieds de ce grand maître de la Tora, mais la Tora donne à chacun la liberté de répondre aux interrogations même des plus grands. Dans «Metivta/Sota» il est rapporté que les anciens ont décidé de sortir de la protection miraculeuse qu’offrait la ville et de vivre d’une manière naturelle. Il n’y a pas d’interdit de vouloir vivre suivant le cours général de la vie… Ce n’est pas écrit dans la Guemara qu’en sortant ils ont sauté du haut d’un ravin. En fait ils ont choisi de vivre une vie où les accidents de parcours existent : ce qui n’est pas assimilé à une action qui va directement mettre fin à ses jours… (On laissera nos lecteurs le soin de réfléchir sur d’autres possibilités de réponses et de voir aussi Yoré Déa 339.1 dans le Rema). Remercier: pourquoi faire ?! On a parlé dans notre précédent développement du sacrifice qu’a fait Noa’h en sortant de l’arche et que grâce à cela Hachem lui donnera la permission de manger de la viande.

Sippour à la James Bond… mais bien réel – «  la mitsva qui sauve »

Ce sipour (il a été publié en Erets il y a dejà cinq ans dans un livre « Assara Nissionoth »).

L’histoire commence chez une famille traditionaliste de l’Amérique profonde : les Smithsons. Cette maison typiquement américaine est attachée aux valeurs de la patrie, de la religion -chrétienne- et de l’armée (ndlr : en un mot : les républicains de l’époque…). Et si j’en parle, je pense qu’il est important de soutenir Trump pour le vote du 25 novembre prochain aux USA. Car ce vote doit assurer au pays d’Israël et par ricochet aux communautés juives de part le monde une meilleure sécurité. Or les concurrents « démocrates » n’ont aucune capacité à régler les problèmes du Moyen Orient et font preuve d’une faiblesse chronique face aux ennemis implacable, l’Iran, les mouvements terroristes etc…  de la justice et de la droiture humaine.  De plus ils prônent la  dégradation des lois du respect de la famille…Pour la petite histoire il a été rapporté que Trump a dit qu’il s’est rendu dans le passé à Gaza. Les journalistes, très intéressés, lui ont demandé des précisions sur sa déclaration. Il a répondu : « C’est clair pour moi… comme Gaza fait partie d’Israël, je me suis rendu aussi à Gaza… » Fin de l’aparté qui doit être diffusé au plus grand nombre des communautés françaises d’Amérique car chaque vote est important en effet l’écart entre les deux candidats est très minime.

Donc cette famille avait depuis quelques générations des illustres aïeux qui étaient de haut-gradés dans l’armée du pays au drapeau étoilé. Tous les enfants Smithsons le savaient depuis leur plus jeune âge, ils devaient avoir de bons résultats en math, histoire, sans oublier la gymnastique. Les petits enfants Smithsons avaient aussi une grande joie de se rendre chez leur grand-père, un vétéran de la guerre 14/18 et de la guerre 39/45 et de d’autres champs de batailles. La maison du papy était un lieu privilégié pour eux car elle était remplie de toute sorte de bibelots et photos qui remontaient à des temps anciens. Seulement parmi ces innombrables objets il y avait une photo qui montrait leur Zeidé (en Yidish c’est « grand-père »… pour toujours faire dans l’humour) dans un grand désarroi et dans une grande tristesse. Or jamais leur grand-père n’avait dévoilé la raison de cette tristesse. Une fois, l’occasion se présenta au jeune « Nick », qui prit les devants et réussit son entreprise. Un beau jour Nick revint à la charge pour demander une énième fois à son grand-père la raison de son désarroi. Le Zeidé se racla la gorge et dit à son petit-fils : « Sache que j’ai beaucoup voyagé dans le monde. J’ai vu la grande misère et la grande richesse ; j’ai vu la paix et la guerre (ndlr : je donne de bonnes idées aux grands-parents pour faire dans  le même style ontologique avec leur jeune progéniture, un style digne de…). Mais je n’ai jamais vu une si grande cruauté et une si grande bassesse de l’humanité. C’était en 1945, je faisais partie de la 6ème division d’infanterie de chars sous la conduite du général Patton. Nous avons été les premiers à avoir libéré le camp de concentration  « Bergen Belsen ». Jamais de ma vie je n’ai vu des scènes d’une si grande cruauté et horrible. J’ai vu des scènes tragiques que jamais je n’avais vues jusqu’à ce jour. Depuis cette date, j’ai décidé d’éduquer ma progéniture dans la paix et la morale vis-à-vis de son prochain (ndlr : « Bravo » pour un homme qui n’a pas reçu l’enseignement de la Tora, ni lu « Autour de la magnifique Table du Chabbath »).

Depuis ce fameux jour, Nick, le jeune petit fils chétif, deviendra un féru de tout ce qui concerne la Shoah. Avec le temps il sera un grand connaisseur de cette sombre période pour notre peuple bien que ses profs ne comprennent pas sa démarche. A la fin de ses études Nick prit le chemin de ses aïeux : une carrière au service de la patrie sous les drapeaux. Grace à toutes ses connaissances historiques, ses supérieurs l’envoyèrent en Terre sainte pour être officiellement secrétaire du consul des USA, mais en réalité il faisait partie des services de renseignements américains. Nous étions quelques temps avant la guerre des 6 jours (et mes lecteurs s’en souviennent peut-être, la France de De Gaule avait établi un embargo militaire contre le jeune Etat hébreu pour donner la préséance aux forces arabes… N’est-ce pas que ce comportement, digne de Machiavel, nous rappelle ce qui se passe aujourd’hui ? D’ailleurs un dicton de feu mon oncle était de dire : les Goyim aiment bien les Juifs… morts – Hachem Yichmor. Fin de la disgression). Donc puisque la France avait mis l’embargo, la Hachaga’ha de Hachem, Providence divine, a entrainé que les Américains ont pris la relève et en conséquence Nick jouera un jeu très important. Pour les besoins de son travail, il avait un contact très étroit avec ses coéquipiers du Mossad israélien. Parmi tous les agents israéliens, se distinguait un certain Amos Hermon, un jeune et prometteur agent du Mossad avec lequel Nick avait de nombreuses affinités. Les deux hommes passaient beaucoup de temps ensemble pour mettre au diapason les deux bureaux de renseignement et aplanir tous les différents point de divergeance (est-ce que c’est aux américains d’attaquer l’Iran ou de laisser le travail aux israéliens ? Je laisse le cours de l’histoire trancher la question …)

En dehors du travail, les deux amis parlaient de tout les sujets inimaginables de la vie. Seulement il y avait un domaine qui était complètement opaque : la religion. En effet, Amos refusait tout débat qui touchait la foi, la croyance, etc. Nick ne comprenait pas du tout la position d’Amos, car il le connaissait comme Juif habitant la Terre sainte, donc forcément croyant de base… Une fois il eut une réponse d’un ami commun avec Amos ; il lui dit : « Amos est fils unique de rescapés de la Shoa. C’est déjà incroyable qu’il soit arrivé là avec un tel passé. Laisse tomber tout ce qui touche la religion ». Depuis lors, Nick évitera toute discussion qui touche de près ou de loin au judaïsme.  On était quelques temps avant la guerre de 6 jours. La situation était très préoccupante et Nick sera dépêché à New York afin de faire le suivi depuis le sol américain des aides militaires de l’Oncle Sam. Nick excellera dans ses analyses (peut-être pas autant que notre fin analyste et lecteur Frédéric Encel. Que Hachem le protege) et de ses grandes connaissances géopolitiques. La guerre finira et il prendra beaucoup de grade dans les services secrets. Quelques années passèrent et Nick décidera de se retirer de son poste. Ses supérieurs étaient très dépités car il devait devenir le chef de tous les services américains. Seulement sa décision était prise, il décida de revenir à ses aspirations d’origine : aider les soldats dans leur difficulté et traumatisme de la guerre (par exemple les jeunes soldats américains envoyés en Irak savaient que le bureau du haut gradé Nick était un endroit important pour leur réinsertion). Et effectivement Nick deviendra une figure très importante dans le domaine de la réinsertion et la porte de son bureau à Manhattan -à l’endroit des deux Tours Jumelles- était le point de rencontre de nombreux soldats.

Une fois (dans les années 2000 après le crash des Tours Jumelles), il rencontra une figure qu’il ne lui était pas inconnue. Peut-être est-ce un soldat qu’il avait aidé en Coré ou au Brésil ou encore en Europe de l’Est ? L’inconnu lui demanda : »Tu ne t’appelle pas Nick ? » et de suite Nick tendra sa main pour lui dire : « C’est toi Amos ? » et les deux se firent une bonne accolade. Seulement ce n’était pas le même Amos qu’il avait laissé il y a trente ans en arrière. Cette fois Amos porte une grande kippa noire sur sa tête et une barbe orne son visage. Au bout de quelques temps les deux se plongent dans leur passé et rapidement Nick lui demanda comment avait-t-il changé de position au sujet de la religion ? Amos lui répondit : « Je pourrais te parler des heures sur le sujet mais je vais essayer de raccourcir au maximum. Je suis né enfant unique de parents âgés qui ont passé les affres de la Shoah. Leur passé était mon pain quotidien. Très fréquemment, je me rappelle que dans ma petite enfance ils se rappelaient ce qu’ils avaient vécu là-bas. « Comme cela on a fait, comme cela on s’est comporté… ». C’était à chaque occasion des scènes dramatiques que mes parents se rappelaient à longueur de journée. J’étais un tout jeune garçon qui se confrontait à des scènes d’horreur à longueur de journée. Avec le temps, j’ai appris, dans ma stupidité d’adolescent, à incriminer celui qui a laissé faire ces horreurs. J’ai pris alors le pli dans ma vie qu’il n’y a pas de Juge ni de Loi sur terre : on peut tout faire dans sa vie. Une fois j’ai eu des échanges houleux avec un groupe de ‘Harédim orthodoxes. L’un d’entre eux me tiendra ces propos : « C’est vrai qu’il y a eu durant la guerre une grande obscurité provenant du Ciel, seulement pourquoi dois-tu te concentrer uniquement sur le mal ? Ne vois-tu pas les grands prodiges qui ont permis la survie de tous les rescapés qui sont présents de nos jours ? Sans ces prodiges permanents, durant la guerre, ils n’auraient pas pu survivre. Place ton attention sur ces faits ! » Ces paroles je les avais repoussées à l’époque et je continuais mon avancée au sein du Mossad. J’étais un officier déjà très brillant qui avait une carrière qui s’ouvrait devant moi. Jusqu’au moment de la guerre du Kippour (1973). Durant cette guerre mes services n’ont pas su détecter l’attaque surprise des ennemis. Tout le pays s’est trouvé au dépourvu. L’attaque était fulgurante et nos pertes très élevées. J’étais alors dans nos bureaux du centre du pays – « Autour de la Table du Chabbath » connaît l’endroit top secret mais préféré ne pas le divulguer, on ne sait jamais… et nous en avons pris pour notre grade. La situation était tellement difficile que j’ai choisi de prendre ma voiture et me diriger vers le champ de bataille du sud contre l’armée égyptienne. En cela je voulais réparer ma faute de ne pas avoir détecté l’attaque. Plus j’avançais dans le sud, plus je voyais des blessés -Hachem yichmor- et des soldats déboussolés. Je me suis associé à une brigade dont je connaissais le sergent et j’ai commencé les échanges de feu. Un jour, j’avais la mission de dépister des guetteurs égyptiens qui donnaient les renseignements à leur artillerie pour viser nos positions. Je me suis caché derrière une carcasse de tank qui avait brûlé et je guettais les alentours. Soudainement je vis à quelques centaines de mètres un camion de chez nous transportant des munitions qui s’arrête. Je me suis dit qu’il devait avoir une panne quelconque, je me suis rendu jusqu’au camion mais il était vide de conducteur. Je restais à regarder à droite et à gauche et soudainement je vois le conducteur qui vient à ma rencontre avec un grand sourire sur ses lèvres. Je commençais à lever le ton en lui disant qu’il était un vrai inconscient d’abandonner son véhicule alors qu’il est rempli d’explosif. Le soldat me répondit : »Tu as raison, mais comprends, cela fait des journées entières que je transporte sur mon dos des tonnes d’explosifs. J’ai une peur bleu à chaque fois que je m’approche des combats. Or je viens de voir un peu plus loin un soldat religieux qui m’a fait signe qu’il avait les 4 espèces de fruits de Souccoth (Etrog, Hadass, ‘Arava, Loulav). Et puisque je viens d’une famille religieuse je me suis dit que grâce à cette Mitsva, Hachem me protégera. » Entre temps est arrivé ce fameux soldat religieux à notre rencontre. Le soldat dira en me voyant assez énervé : »Tu sais, un grand rav d’Israël, le rav Simha Méir de la ville de Dvinks (début du 20° siècle) avait l’habitude de dire qu’à chaque balle il existe une adresse. De plus, le Talmud écrit que grâce à la Mitsva (du Loulav)  il sera protégé par le Ribono chel ‘Olam. » Quand j’ai entendu ces paroles je voulais gober tout cru ce religieux… Seulement je n’ai pas eu le temps d’ouvrir la bouche qu’une terrible explosion se produira un peu plus loin et son souffle nous éjectera à plusieurs mètres de l’endroit. Nous étions tous les trois sonnés mais biens sains et saufs . J’étais abasourdi des faits : la Mitsva nous a tous bien protégée le conducteur, le religieux et moi-même. Suite à ces faits extraordinaires et aussi de la discussion qui était bien antérieure, lorsque la guerre s’est terminée, je suis parti à Jérusalem dans une Yechiva pour étudier et mieux comprendre le judaïsme, car j’étais complètement ignorant en la matière. Les choses me plurent profondément et je décidais de continuer dans la voie. Aujourd’hui je suis grand-père et je vis à Jérusalem. Je suis venu à New York pour une joie familiale… » Fin du sipour véridique.

Cela nous apprend  la valeur de la Mitsva et de savoir qu’il existe le Ribono chel Olam Qui protège son peuple de tous les maux et ennemis. Ce sipour véridique nous donnera du baume au cœur et qu’Israël n’a pas avoir peur d’innombrables ennemis car Hachem est avec nous jusqu’au bout !

Chabbat Chalom et à la semaine prochaine si D’ le veut.

David Gold