2 novembre 2024

Nous allons cette semaine, avec l’aide d’Hachem, relever deux points assez intrigants dans notre Parachat Bechallah’. La Paracha commence par les mots « vayéhi béchala’h paro-Ce fut lorsque Pharaon eut renvoyé le peuple… »

La Guémara (Méguila 10b) nous enseigne que toute Paracha qui débute par le terme « vayéhi » introduit toujours un épisode malheureux.

Il y a lieu de se demander, en quoi notre Paracha qui commence par ce terme, est-il annonciateur d’une catastrophe ? En effet notre Paracha, aborde essentiellement la traversée de la mer rouge, le don de la manne… des événements assez heureux pour le peuple : leur ennemi a été anéanti et on leur assure un moyen de subsistance. Pourquoi alors la Torah utilise « vayehi » ?

Puis nous voyons dans la suite de la Paracha, la manière dont est écrit le fameux passage de la chira, chant récité par le peuple qui loue la gloire d’Hachemaprès la « traversée de la mer rouge ». Il est écrit différemment des autres passages de la Torah, en quinconce, avec des longs blancs entre chaque mot. Pourquoi une telle disposition, et de tels blancs ? LIRE LA SUITE