25 avril 2024

Le corona et Gog ou Magog

Déjà en 2018, le rabbi de Kretschnof-Kiriath Gath, rav Israël Nissan Rosenbaum zal, prévoyait le corona…

Il y a déjà deux ans, il a parlé du fait qu’un minuscule virus allait surgir et perturber le monde entier. « Béni soit le Maitre du monde, Il livrera tout seul la guerre de Gog et Magog. » Il est décédé depuis lors, en novembre 2019, laissant quatre enfants derrière lui.

Ce qu’il a dit alors, voici deux ans, a été imprimé depuis lors : « C’est le sens du verset : « Et Pharaon rêva » (Beréchith/Genèse 41,1), que le Saint, béni soit-Il, apportera quelque chose au monde qui sera une sorte de rêve, sans réalité, qu’on n’a jamais vu. Il pourra se propager dans le monde entier, tourner et perturber le monde du début à la fin, comme un rêve. Et malgré toute la technologie actuelle, toutes les nations du monde seront ‘comme des rêveurs’ et rien ne les aidera. »

Le rabbi a ajouté : « Et c’est ce qui se passera à la fin des jours, ni par guerre, ni par force, ni par l’esprit, ni par les Iraniens ni par les Syriens, etc. Mais le Saint seul livrera la guerre de Gog et Magog, « Le cheval est d’un vain secours pour triompher, et sa grande vigueur n’assure pas le salut » (Tehilim/Psaumes 33,17). Mais une seule chose sera utile : « Voici, les yeux du Seigneur sont ouverts sur Ses serviteurs, sur ceux qui ont foi en Sa bonté, afin de sauver leur âme du trépas, et de les conserver en vie pendant la famine.  Notre âme met son attente en l’Eternel : Il est notre aide et notre bouclier. Oui, notre cœur se réjouit en Lui, oui, nous avons confiance en son Saint Nom. Que Ta bonté, Eternel, s’étende sur nous, comme nous y comptons de ta part ! » (voir le texte ci-contre)

En se rapprochant de l’Eternel, les enfants d’Israël seront sauvés et arriveront à une rédemption complète.

Le rabbi concluait : « Que le Saint, béni soit-Il, nous préserve et nous sauve, tout le peuple d’Israël, de toute affliction et détresse, de toute maladie, que nous voyons bientôt des merveilles et la rédemption. »

Extrait d’un article paru sur Kountrass