La Téchouva comporte trois éléments indispensables : le regret, l’aveu/Vidouï et l’abandon de la faute.
Le Beth-Din Chel Maála [tribunal Céleste] ne ressemble pas au tribunal humain. Chez les hommes, un accusé est condamné à la suite de son aveu, tandis qu’au tribunal Céleste, c’est le contraire : seul l’homme qui a avoué ses fautes sera digne d’être acquitté. C’est pour cela que le Vidouï est l’un des passages fondamentaux et essentiels des séli’hot et du jour de Kippour, étant donné que le pardon passe nécessairement par l’aveu des ses fautes, comme l’explique le Rambam… LIRE LA SUITE
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